Avec la mesure de l’empreinte environnementale et de l’impact social des projets qu’elle a permis de financer, Unilend continue à innover dans l’univers du financement participatif et confirme l’intérêt d’Unilend comme nouvelle forme d’investissement responsable. Unilend mandatait en 2016 le cabinet Trucost pour mesurer l’empreinte environnementale et l’impact social des près de 250 projets financés sur la plateforme. Une première mondiale dans l’univers du financement participatif

Cet audit s’inscrit dans le cadre de la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte de 2015 qui incite tous les investisseurs et intermédiaires financiers à mesurer et publier l’empreinte carbone et la contribution à la transition énergétique et écologique de leurs investissements. Résultat : fin avril 2016, l’empreinte « carbone » de tous les projets financés via Unilend était de 178 Kg d’équivalent CO2 pour 1 000 euros prêtés, soit un portefeuille 46% moins intense en carbone que les entreprises du CAC 40.

Prêter sur Unilend est 2 fois moins polluant qu’investir dans le CAC 40.

De surcroît, la mesure de l’impact social d’Unilend révèle que les prêts réalisés sur la plateforme ont contribué à la création d’environ 100 emplois en deux ans et demi chez les entreprises emprunteuses.

Il s’agit d’une première étape car Unilend envisage désormais d’intégrer la mesure d’empreinte directement dans sa plateforme lors de la présentation des projets.

« Cette étude démontre que le financement participatif des TPE/PME en France a un impact positif réel sur l’environnement et la société. En comparaison avec certaines autres classes d’actifs, les prêts aux TPE/PME offrent l’avantage de proposer un investissement à la fois bas carbone et local, un constat qui devrait fortement intéresser à la fois les particuliers et les investisseurs institutionnels » déclarait Jean-Florent Helfre, responsable du développement de Trucost en France l’issue de cette étude.